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Isolement et Contention Références juridiques, jurisprudentielles, européennes, internationales

Publié par HumaPsy le 25/08/2020
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Depuis la loi du 26 janvier 2016, les mesures d’isolement et de contention émanent d’une décision médicale d’un psychiatre, ce qui constitue un changement dans les pratiques professionnelles

Lire la Note juridique rédigée et actualisée par Valériane DUJARDIN-LASCAUX, Juriste, le 24 juillet 2020

Lit Psychiatrique | Chambre d'Isolement Psychiatrie | Trévise ...

Des rdv: les 11, 12 et 13 septembre 2020

Publié par HumaPsy le 10/07/2020
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Screenshot_2020-07-10 QUELS SOINS POUR LA SANTE - Plaquette Congrès USP septembre 2020 pdf

Screenshot_2020-07-10 QUELS SOINS POUR LA SANTE - Plaquette Congrès USP septembre 2020 pdf(1)

Des nouvelles du GEM La Locomotive (Reims)

Publié par HumaPsy le 06/07/2020
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https://www.radioprimitive.fr/emissions/quartier-plus/200615-interview-du-gem-la-locomotive.html

Et un lien vers le blog du GEM: https://gemlocomotive.wordpress.com/

https://gemlocomotive.files.wordpress.com/2011/05/maison-gem.jpg

Mobilisation le 16 juin 16h à Reims, pour une psychiatrie qui accueille la folie.

Publié par HumaPsy le 16/06/2020
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16 juin 2020 collectif Artaud

Définitions:

accueillir , verbe transitif

  • Sens 1

    Donner l‘hospitalité.

    Synonymes : héberger, offrir, loger, recevoir

    Traduction anglais : to accomodate
  • Sens 2

    Recevoir d‘une certaine façon.

    Exemple : Il a très mal accueilli l‘annonce de son licenciement.
    Synonymes : accepter, admettre, apprendre
  • *Collectif Artaud : Les clubs thérapeutiques du service ZR4, l’association Humapsy, Le GEM La Locomotive, …

Un article dans Santé mentale.fr

Publié par HumaPsy le 27/05/2020
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De l’effet subversif du pair-aidant…

Auteur(s) : Humapsy

Nbre de pages : 1

Pour l’association Humapsy, l’image progressiste que se donne la psychiatrie en recrutant des pairs-aidants est usurpée si elle ne reconnaît pas davantage les savoirs expérientiels.

 » en l’absence de représentation d’un possible « soin psychique », la société tolère (parfois réclame) des mesures sécuritaires, la contention, les traitements médicamenteux imposés jusqu’au domicile du patient, le fichage des patients comme s’ils étaient potentiellement dangereux. C’est donc à notre sens aussi une façon de déstigmatiser la maladie psychique que de témoigner qu’elle ne se soigne pas seulement avec des médicaments ou des techniques qui visent à réparer le cerveau. Nous sommes des humains aussi humains que les autres, pas des machines détraquées. »

à télécharger ICI

Screenshot_2020-05-27 Accueil

Psychiatrie et coronavirus

Publié par HumaPsy le 10/05/2020
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Pour beaucoup de patient.es en psychiatrie, le suivi avec les psychologues se fait à présent par téléphone puisque ces dernier·es sont nombreux·ses à télétravailler à cause du confinement. Mais comme le décrit Romain, psychologue dans un centre médico-psychologique dans le Val-de-Marne, la logistique est laborieuse. « Je télétravaille depuis le début du confinement. Du coup j’appelle les patient·es, mais en masqué pour qu’ils n’aient pas mon numéro, et le personnel sur place doit les faire venir dans mon bureau -où je ne suis pas- pour qu’iels puissent parler plus tranquillement que dans leur chambre. Iels sont inquiet·es, c’est certain. Certains ont peur de ne plus recevoir les aides sociales du fait des rendez-vous qui sautent avec les assistantes sociales.»
Lire la suite: Source

LAMEUTE.INFO

Assouplissements des sorties des personnes en situation de handicap

Publié par HumaPsy le 03/04/2020
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Le 2 avril 2020, le Président de la République a annoncé que les conditions de sortie pour les personnes en situation de handicap et leur accompagnant sont désormais assouplies.

Cet assouplissement doit s’accompagner d’un strict respect des gestes barrière impératifs pour la sécurité sanitaire de tous.• Pour les personnes en situation de handicap domiciliées chez elles, leurs parents ou leurs proches : leurs sorties, soit seules soit accompagnées, en voiture ou non, ne sont pas limitées à 1H, ni contraintes à 1Km du domicile -pour permettre notamment d’aller dans un lieu de dépaysement-, ni régulées dans leur fréquence et leur objet, dès lors que la personne ou son accompagnant justifie aux forces de l’ordre d’un document attestant de la situation particulière de handicap.• S’agissant des déplacements d’un tiers professionnel ou non pour la prise en charge de personnes en situation de handicap : ce déplacement entre dans le cadre des déplacements pour assistance à personnes vulnérables, sans condition de durée ou de distance.

Attention : cette mesure ne fait pas l’objet d’une attestation dédiée, mais consigne est donnée aux préfets et aux forces de l’ordre d’une prise en compte spécifique. Il faut donc toujours pour autant remplir et avoir l’attestation habituelle dérogatoire de déplacement.

Cette mesure vient en complément des mesures prises pour tenir compte des besoins spécifiques des personnes en situation de handicap, comme l’attestation disponible en ligne en Facile à lire et à comprendre (FALC) et le fait de ne pas exiger des personnes aveugles ou malvoyantes d’attestation, sous condition de présenter une carte d’invalidité ou un document justifiant d’un tel handicap.

https://handicap.gouv.fr/IMG/png/info_pour_site.png?1585841031

On est contents que cette annonce n’ait pas été faite le 1er avril !

Source: https://handicap.gouv.fr/actualites/article/assouplissements-des-sorties-des-personnes-en-situation-de-handicap?fbclid=IwAR1rW54CrCaXryckIKyVhdOYZF6m5ht7y4GEq1Z6_m_FRk0BCOX1CIgcIs4

La policière, l’attestation, et «les gens comme ça»

Publié par HumaPsy le 30/03/2020
Publié dans: La psy dans les médias. 3 Commentaires

Source: Libé.fr

En venant consulter sa psychiatre, un patient au RSA écope d’une amende de 135 euros pour avoir «mal rempli» son attestation de sortie. Témoignage circonstancié du médecin qui dénonce une police autoritaire.

  • La policière, l’attestation, et «les gens comme ça»

Tribune. Mardi 24 mars, début de la deuxième semaine de confinement. Les choses se sont accélérées, la vie n’est plus du tout la même. La rumeur du monde, valse étourdissante de chiffres lugubres et d’images de panique, contraste avec le temps, magnifique, lumineux, du printemps qui émerge.

Hier soir, Edouard Philippe a annoncé des mesures plus drastiques, des autorisations de sortie plus restreintes. Désormais, pour aller chez le médecin, il faudra y être convoqué. Je suis médecin, je suis psychiatre, psychanalyste. Je reçois essentiellement des adolescents, des jeunes adultes. Ils viennent en séance une fois par semaine, parfois depuis plusieurs années. Il n’est pas question d’arrêter le travail entamé car, virus ou pas, la dépression qui lui préexistait n’a pas disparu pour autant, ni l’angoisse, ni les difficultés relationnelles avec les parents, le petit ami, l’existence simplement. Chacun vit le confinement à sa façon, et pour cela, j’ai proposé de poursuivre la psychothérapie en présentiel autant que possible, sinon par téléphone, mais il est parfois compliqué pour un adolescent, de s’isoler pour téléphoner, surtout lorsque tous les membres de la famille sont présents au domicile.

Les jours confinés peuvent être rudes, entre les exigences scolaires sans aucune des compensations habituelles (voir les amis, discuter, rêvasser dans le climat si particulier du lycée, de l’université), la présence des parents en permanence, les nerfs à fleur de peau des proches à supporter. Ce qui semblait être une grande liberté (le temps pour faire des choses qu’on ne fait jamais…) finit par ressembler à une certaine aliénation régie par l’impératif de «profiter» de ce temps, alors qu’on ne sait plus bien quoi en faire puisqu’il ne manque pas.

Mardi matin, le premier patient arrive. Il est très angoissé. Il a appris une nouvelle particulièrement déstabilisante le matin même et il vient de se faire verbaliser lors d’un contrôle de police à 50 mètres du cabinet : son attestation de sortie était mal remplie. Il est inquiet, il est au RSA, il vit dans un logement social, il pense aux 135 euros. Je l’aide à s’apaiser puis je lui propose d’aller voir l’agent qui l’a verbalisé pour attester de la véracité de ses dires, à savoir que son déplacement, à plus d’un kilomètre de son domicile, était justifié par un rendez-vous médical. Je me munis de mon caducée car j’ai perdu ma carte de médecin il y a quelques années. Je n’utilise jamais ce caducée, n’ayant pas de véhicule, je l’ai retrouvé sous une pile de papiers lors d’une tentative de grand rangement favorisé par le confinement.

Je me présente à l’agent, lui expliquant que je suis le médecin avec qui le jeune homme verbalisé avait rendez-vous, souhaitant ainsi attester de sa bonne foi. Elle me répond : «Non mais vous avez vu comment elle est remplie son attestation ?» Elle est manuscrite, et mon patient, par égarement, avait coché deux cases, la raison de santé et l’exercice physique. Je reconnais tout cela et c’est le motif de ma présence, clarifier et justifier le déplacement, c’est-à-dire l’objet de l’attestation. L’agent n’en a cure : «Si tout le monde commence à faire comme ça ! C’est bon, il suffit de cocher une case.» J’avais prévenu mon patient («nous ferons profil bas de toute façon») et j’explique à l’agent qu’il s’agit d’un patient qui vient consulter un psychiatre, il est donc dans un moment de fragilité et il lui a été compliqué de remplir l’attestation. Elle me rétorque : «Vous êtes en train de dire que les gens comme ça, qui vont voir un psychiatre, ne sont pas capables de remplir cette feuille !»

Une discussion impossible

Par naïveté sans doute, et parce que je considérais la démarche légitime, je suis saisie par l’absence absolue de discussion possible, la condescendance méprisante envers les patients. Le verdict est évidemment sans appel, rien à faire, «Je fais mon travail». Je suis tellement sidérée par cette phrase que j’ai un mouvement de recul, je demande par la même occasion à l’agent de bien vouloir respecter la distance de sécurité, et également de me parler correctement. J’aurais dû m’y attendre, elle me répond : «C’est à vous de me parler correctement.» Je me résigne, mais avant de partir, je lui demande son RIO, elle dit d’abord, «bien sûr vous pouvez l’avoir !» puis se ravise «et puis non, vous me parlez tellement mal, je ne vous le donnerai pas !»

Elle ne m’a pas touchée, elle ne m’a pas insultée, mais il y a une telle violence dans son attitude, dans son refus, dans son autorité injuste, que je finis par m’adresser à l’un des deux agents qui l’accompagnent, et qui reste silencieux, «Comment pouvez-vous laisser faire cela ?» Il ignore ma question. Je repars avec mon patient.

La séance, puis les autres séances de la matinée s’enchaînent. Cette sortie, venir voir son psychiatre, constitue pour une majorité de patients l’unique déplacement en extérieur de la semaine. Certains expriment une grande culpabilité, ils disent que c’est un luxe de pouvoir venir consulter, de pouvoir parler car «ce n’est rien à côté de ce qui est en train de passer, le virus».

Alors même que divers symptômes sont en recrudescence dans ce contexte anxiogène de pandémie et de confinement (les affects dépressifs s’accentuent et avec eux le risque suicidaire, les rituels de compulsion se renforcent, les troubles du sommeil sont en recrudescence, l’angoisse se durcit…), les patients s’en veulent de vouloir se soigner et la police punit pour une attestation mal remplie ! J’en ai le vertige.

C’est le début de l’après-midi. J’écoute mon répondeur professionnel. Il y a un message d’un commandant de police. Il me demande de le rappeler suite à mon «attitude» lors d’un contrôle. Je le rappelle. Il me demande de «raconter» ce qui s’est passé. Je le fais. Il me dit: «Mais vous êtes très calme, ce n’est pas du tout ce qu’on m’a rapporté de vous. On m’a dit qu’une médecin hystérique est venue en brandissant son caducée s’en prendre à un agent.» Je répète, en effet calmement, que je venais simplement attester du motif de déplacement de mon patient, venu voir son psychiatre, et verbalisé d’une amende de 135 euros alors qu’il est au RSA, pour une attestation mal remplie. «Oui enfin nous, des gens bizarres comme ça, on en voit tout le temps !» Il ne semble absolument pas mesurer la véhémence de son propos.

Je comprends, au fil de la conversation, que ce n’est pas d’une verbalisation insensée et abusive dont il s’agit, mais de mon attitude «incivique» car j’aurais «utilisé ma fonction comme d’un Graal pour circuler !» Devant l’insistance, la discussion impossible, je me sens dans l’obligation de m’excuser puisque je me suis mal «comportée». Je finis par raccrocher, épuisée, triste et en colère. Je savais bien ce mépris de l’autre, autoritaire et jouissif, exercé par la police, mais son effet délétère est encore amplifié par le confinement, la façon dont il a été imposé, le langage employé pour le justifier, les moyens mis en œuvre pour le faire respecter.

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La psychiatrie est à faire et à défaire par les premiers concernés

Publié par HumaPsy le 04/03/2020
Publié dans: La psy dans les médias. Tagué : HumaPsy reims champagne Paris psychiatrie gem, psychiatrie. Poster un commentaire

Ce mercredi 4 mars, les éditions La Découverte publient La révolte de la psychiatrie. Les ripostes à la catastrophe gestionnaire, de Mathieu Bellahsen et Rachel Knaebel, une plongée passionnante dans la mise en ordre managériale de de la psychiatrie française, c’est-à-dire dans son effondrement. Nous en publions ici quelques bonnes feuilles.
« Nous sommes tous des schizophrènes dangereux », « Tais-toi ou je te pique », « La ferme ou je t’enferme », « Labos, lobbies, lobotomie »… Le 14 juin 2014, c’est avec ces slogans résolument contestataires que l’association Humapsy et ses membres se rendent à la première Mad Pride (littéralement « Fierté folle ») française, organisée sur le modèle de celles qui existent déjà dans de nombreux pays. Une Mad Pride, c’est une marche pour que tous, usagers, patients de la psychiatrie, proches, puissent descendre dans la rue avec ce qu’ils ont à dire. « Pas de contention, de l’imagination ! », « De l’écoute, pas que des gouttes », peut-on aussi lire et entendre ce jour de juin. Lire la suite: SOURCE
logo mad pride

 

 

Programme complet sdlfo 10 e édition: Tout est annulé !

Publié par HumaPsy le 25/02/2020
Publié dans: Actions & Rencontres. Tagué : sdlfo. 2 Commentaires

Tout est annulé !

sdlfo 2020
Le Collectif Artaud composé des clubs thérapeutiques du pôle de psychiatrie 51ZR4 à Reims (Le Grillon, Grain de plaisir, M.E.I.D, la Salamandre, Atout Coeur), du GEM La Locomotive et de l’association HumaPsy présentent pour la 10ème année consécutive

Tout est annulé !

LES SEMAINES DE LA FOLIE ORDINAIRE

10 ans de luttes
10 ans de créativité et de travail thérapeutique
10 ans de ténacité contre la destruction exponentielle de la psychiatrie
10 ans de fêtes
10 ans de rencontres
10 ans de spectacles et de débats
Et ça continue encore et encore

Cette année, nous vous invitons à partager avec nous:

UNE EXPOSITION DES ATELIERS CREATIFS
Photos, gravures, sculptures, peintures, dessins, retrospective…
du Mardi 17 Mars au Jeudi 2 Avril
Maison de la vie associative, 122 bis rue du Barbâtre, Reims
VERNISSAGE FESTIF, le mardi 17 Mars à 18h
Entrée libre

UNE SOIREE DROITS DES PATIENTS
Sous forme d’assemblée générale
Le Jeudi 19 Mars à 19h
avec la participation de Jean-Pierre Martin, Pascal Boissel, Delphine Glachant, psychiatres et Serge Portelli, avocat et ancien haut magistrat.
Maison de la vie associative, 122 bis rue du Barbâtre, Reims
Entrée libre

UNE SOIREE SPECTACLE « POLITIF! »
Fanfare, percussions, chant, scènettes et en deuxième partie de soirée,après une pause gourmande, table ronde sur la question de la création comme vecteur de lutte contre la discrimination avec les clubs thérapeutiques de Saumery, La belle équipe, la radio sans nom et le journal Ephéméride.
Le Mercredi 25 Mars de 17h45 à 21h30
Maison commune du chemin vert, place du 11 Novembre, Reims
Entrée libre

politif

UNE PROJECTION DEBAT
animée par l’association HumaPsy
le vendredi 27 Mars de 14h à 18h
Le temps des cerises, 30 rue de la cerisaie, Reims
Entrée libre

UNE SOIRÉE CINEMA AVEC LA PROJECTION DU FILM « LES HEURES HEUREUSES »
en présence de Martine Deyres, réalisatrice
Une aventure documentaire qui mène de l’asile psychiatrique de Saint-Alban-sur-Limagnole au centre de la France jusqu’au Musée de l’Art Brut à Lausanne.
Le mardi 31 Mars à 20h30
Médiathèque Jean Falala, 2 rue des Fuseliers, Reims
Ouverture des portes 20h, participation aux frais: 5 euros

Visuel film

………………………………………………………………………………….

Dans le cadre officiel des Semaines d’Information Sur la Santé Mentale et sur une idée du collectif Artaud:

SOIREE D’OUVERTURE DES S.I.S.M
Avec Mathieu Bellahsen, Psychiatre et Rachel Knaebel, journaliste pour leur livre « LA REVOLTE DE LA PSYCHIATRIE, les ripostes à la catastrophe gestionnaire ». Avec la collaboration et la présence de Loriane Bellahsen.
Discutant: Yacine Ahmis, Psychiatre
Lundi 16 Mars à 18h
Stade Auguste Delaune, chaussée Bocquaine, Reims
Entrée libre

Au plaisir de vous compter parmi nous.

Le Collectif Artaud

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